Vatican, dimanche de Pâques. Il faisait doux sur la Place Saint-Pierre. François, le pape argentin au sourire fatigué mais encore vaillant, s’offre à la foule, debout dans sa papamobile, bénissant les fidèles d’un geste devenu rare. Quelques heures plus tôt, il recevait — en privé, mais pas trop — JD Vance, sénateur républicain de l’Ohio et nouveau chouchou de l’axe trumpiste. Une visite diplomatique ? Ou un étrange prélude ?
Aujourd’hui, le monde apprend la mort du pape François. Subitement. Brutalement. Dans un silence quasi liturgique.
Alors on pose la question que personne n’ose formuler à haute voix dans les salons du Vatican (mais qu’on murmure dans les loges) :
Y a-t-il une corrélation entre la visite de JD Vance et le décès du pape François ?
On sait le bonhomme Vance prompt à faire vaciller les piliers de la démocratie américaine, mais aurait-il aussi ce pouvoir mystérieux de provoquer le repos éternel chez les chefs spirituels du monde chrétien ?
Le timing est... troublant. Un tête-à-tête avec un représentant d’une droite ultraconservatrice américaine, un bain de foule inhabituellement long, et puis, hop, rideau.
Et puis quoi ? L’enquête est menée en silence. Aucune autopsie médiatisée. Le Vatican parle de "cause naturelle". Comme toujours.
Mais si ce décès n’était pas si "naturel" ? Si cette rencontre — anodine en apparence — avait été trop pesante, trop tendue ? Faut-il rappeler que François avait souvent critiqué les populismes et les faux messies politiques ? JD Vance, lui, est littéralement l’auteur d’un "Évangile de la rouille"… Ce n’est pas rien.
Certains analystes y voient une simple coïncidence. D’autres, un signe. Ici, on se contente de poser la question. Mais on ne promet pas de ne pas chercher les réponses...